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CNGE > Espace communication et presse > CNGE Communication > CNGE Communication - Février 2017 | |
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CNGE Communication - Février 2017Créé le mardi 28 février 2017 Les enjeux du premier semestre En ce début d’année, l’actualité de la médecine générale est importante, tant par les différents choix que les candidats à l’élection présidentielle portent dans leur programme en matière de Santé, que par les évolutions que va impliquer la réforme des D.E.S du troisième cycle des études médicales pour la rentrée prochaine. Concernant la future élection présidentielle, nous expliquons directement aux équipes des principaux candidats voire aux candidats eux-mêmes, notre vision du système de santé et l’importance des soins premiers et de la médecine générale. Dans cette vision, la formation initiale et la filière universitaire ont bien sûr une place considérable. Nous nous appuyons sur le document formalisé par le CNGE, issu de toutes les contributions collectives que nous avions recueillies en 2016. Concernant la réforme du D.E.S, le chantier est très avancé, même s’il reste suspendu à la parution du prochain décret en mars. Celui-ci comportera notamment l’architecture de toutes les maquettes des D.E.S. Ce texte fixera pour un certain nombre d’années, une réforme qui va augmenter le temps de formation en médecine générale ambulatoire et donc demander des adaptations non négligeables de notre part. Il entérinera la fin des D.E.S.C, dont le D.E.S de médecine générale ne sera plus la voie de passage. Le découpage du 3e cycle en 3 phases, socle, approfondissement et consolidation, reste complexe. La phase socle, constituée par la 1ère année du D.E.S, est conçue avec des objectifs de formation hors stage plus ou moins communs aux différentes spécialités. Elle comportera le 1er stage en MG, avec des internes plus novices qu’auparavant, mais la rencontre plus précoce avec la discipline sera plus encline à permettre pour l’interne d’adhérer à la médecine générale et à se projeter comme futur professionnel. La phase d’approfondissement de 2 ans comportera un SASPAS obligatoire, et des stages en santé de la femme et santé de l’enfant dont l’enjeu sera pour nous de les organiser de plus en plus en ambulatoire. Il n’y aura pas pour le moment de phase de consolidation qui devra être constituée dans l’avenir par une 4e année professionnalisante, à l’instar des autres D.E.S. Rapidement, pour permettre une augmentation des stages en MG, nous allons devoir recruter suffisamment de MSU pour satisfaire aux exigences de cette réforme, ce qui nécessite l’apport de tous les MSU déjà impliqués. Le prochain CA, espace de réflexions Il est programmé le 4 mars et la mise en place du D.E.S y tiendra une place centrale. Ce sera aussi l’occasion de préparer la réunion des exécutifs des collèges locaux, les 18 mars et 1er avril (réunion dédoublée en raison de problèmes de transport), qui devrait permettre de trouver des pistes d’amélioration dans l’articulation entre l’échelon national et les régions. Nouveautés importantes du côté de la revue exercer
Notre revue exercer paraît dorénavant tous les mois soit 10 numéros par an, avec une maquette rénovée et de plus nombreuses rubriques, au plus près de nos préoccupations de généraliste et/ou de maître de stage. De la qualité et de l’utilité pour la pratique : il suffit de s’abonner, c’est très simple https://www.exercer.fr/abonnement/choix/?payment_mode=online
Nous rappelons que nous avons la chance de pouvoir commander par ailleurs l’ouvrage Données pour exercer, résumé, analyse et commentaire de 100 publications internationales de 2015 et 2016, sélectionnées pour leur utilité pour notre pratique de médecine générale. Rien de plus facile que de commander en ligne https://www.exercer.fr/donnees_pour_exercer/2015/
Le combat pour le maintien des formations à la maitrise de stage L’objectif est de consolider la formation à la maîtrise de stage, encore menacée dans son financement avec une réduction de 50% du hors quota en plus du budget individuel de chaque médecin. Or, ce financement est indispensable au recrutement des MSU et donc à l’organisation du nouveau D.E.S qui nécessite plus de MSU. Alors que la formation est le levier structurel le plus important pour que des professionnels s’installent dans les territoires, la réduction de ce financement est une grossière erreur stratégique. Nous demandons à l’ANDPC et aux syndicats professionnels qui ont voté cette réduction de revenir sur leur décision. En attendant, n’hésitez pas à vous inscrire aux formations du CNGE dont le calendrier est disponible en ligne https://www.cnge.fr/la_formation/calendrier/date/2017// Indispensable recherche ! La recherche constitue un secteur clé pour l’avenir de la médecine générale. Plus nous produirons de travaux réalisés au sein de la discipline par les acteurs de la discipline, plus notre parole aura de poids dans la communauté scientifique. Les MSU sont invités à s’inscrire nombreux au réseau d’investigateurs et à contribuer aux études en cours, qu'elles soient locales, inter-régionales, ou nationales. Participer à ces travaux est aussi une manière de démontrer le dynamisme de notre discipline. Rappel aux investigateurs de BECOMEG Un petit effort supplémentaire vous est demandé pour boucler l’étude. Il suffit que chaque investigateur inclue un patient de plus pour arriver au nombre total d’inclusions requis. Si besoin, renseignez-vous auprès de votre responsable de groupe. Dates à retenir
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